Nous vivons depuis quelques années une difficulté à nous soigner, les médecins sont devenus une denrée rare

et n'ont malheureusement pas toujours la posture d'écoute ni le temps dont nous avons tant besoin lors d'évènements difficiles et de maladies.

 

Aussi, nous avons eu longtemps l'habitude de répondre à nos maux physiques par un médicament pour les arrêter, parfois sans réel changement sur la manifestation du dit symptôme.

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L'habitude de prendre des traitements en automatique semble changer et en soi, c'est aussi apprendre à connaitre son corps, mieux comprendre ce qu'il tente de nous communiquer et ainsi mieux le respecter.

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Car c'est le seul moyen pour lui de nous indiquer que quelque chose ne va pas, tout comme un voyant sur le tableau de bord de notre voiture.

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Quelques illustrations :

"En avoir plein le dos", "se mettre la rate au court-bouillon", "avoir l'estomac noué", "en avoir gros sur le cœur" ...

Ces nombreuses expressions ne sont pas dénuées de sens, loin de là.

 

Elles montrent une réaction physique (réelle, ressentie ou imagée) suite à un bouleversement nous impactant émotionnellement et par conséquent physiquement.

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Tout d'abord, il me semble indispensable d'avoir un suivi minimal avec un médecin généraliste.

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Les médecines parallèles (aussi nommées complémentaires ou douces) doivent toujours être complétées de la médecine conventionnelle et à mon sens l'inverse est aussi vrai.

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Ils sont, pour moi, une étape non indispensable dans tous les cas.

 

Les situations auxquelles on ne peut pas vraiment faire autrement que les prendre :

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. Lorsque la douleur est trop handicapante dans le quotidien : ils amènent une solution d'urgence pour permettre au corps un repos qu'il n'arrivait plus à contacter et ainsi faciliter la récupération.

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. Lorsqu'une fonction importante de notre organisme ne peut plus se faire : dans le cas de l'ablation d'un organe : ils permettent de maintenir cette fonction et éviter la dégradation de la santé générale de la personne.

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Dans un idéal, les traitements devraient servir plutôt de béquille, le temps de prendre en considération ce mal et de chercher à le comprendre pour qu'il n'ai plus de raison de se manifester.

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Mettre un pansement dessus n'est pas une solution à long terme, le mal cherchera toujours à sortir et s'exprimera ailleurs sous une autre forme souvent bien plus grave que les premiers signes d'alerte.

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Je comprends ce que vous ressentez quand on sait que ces derniers causent de nombreux effets indésirables notamment à long terme d'utilisation 

et qu'ils camouflent le mal sans résoudre le problème.

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Pour cela, il y a à mon sens tout un chemin afin d'y parvenir :

Comprendre comment est apparue la maladie ou le symptôme, le message que votre corps cherche à vous transmettre, permettre au corps de digérer l'évènement en question pour un retour à l'équilibre intérieur.

 

Pendant ce chemin, il est important de revoir son hygiène de vie (l'alimentation, l'activité physique et un sommeil réparateur aidant le corps à régler déjà certaines problématiques) et d'atténuer par des méthodes naturelles les symptômes physiques et le mal-être psycho-émotionnel aggravant ces derniers.

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Je vous propose ici un espace où trouver vos réponses, faire ce chemin en étant entouré.e et accompagné.e dans votre processus de compréhension et de libération du mal exprimé.

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NB : il est important que vous ayez un suivi par votre médecin traitant / spécialiste si vous avez des traitements durant ce processus afin qu'il les ajuste avec vous si besoin de les modifier. Je n'interviens aucunement sur votre traitement en cours.